MOINS ON FAIT DE BRUIT, MIEUX ON S’ENTEND
Pour vivre agréablement en copropriété, il faut savoir s’imposer des règles de savoir vivre afin d’éviter des troubles de voisinage.
Centre d’information et de documentation sur le bruit
« Les bruits de la vie quotidienne dérangent rarement ceux qui en sont responsable »
Ils risquent cependant d’importuner les voisins non seulement la nuit mais également le jour car certains résidents peuvent être souffrants ou astreints à des horaires de travail décalés…
Exemple: Les siestes du nourrisson sont nécessaire à son équilibre et à sa croissance.
Les sources de bruits gênants sont nombreuses et si on ne peut les citer toutes; l’attention des locataires est attirée sur celles qui troublent plus fréquemment la tranquillité des uns et des autres :
- Claquements de portes.
- Bruits d’impact de pas.
- Bruits d’électro-ménager, chaînes stéréo, tv, radio.
- Les outils de bricolage, de jardinage.
- Bruits de fêtes.
- Les jeux bruyants.
- Aboiements de chien.
- Volets roulants.
Ces bruits peuvent porter atteinte à la tranquillité du voisinage, en raison de leur intensité, de leur durée ou de leur répétition.
Article R1334-31 et R1337-7 à R1337-9 du code de la santé publique, relatifs à la lutte contre les bruits de voisinage.
Que faire en cas de troubles de voisinage ?
La conciliation et la médiation
La première démarche conseillée est d’informer l’auteur du bruit de la gêne qu’il provoque: engagez le dialogue, invitez-le chez vous pour constater le bruit que vous subissez, essayez de trouver ensemble une solution. Si le dialogue est difficile ou si la gêne persiste, vous pouvez demander à un tiers d’intervenir: le syndic, le bailleur social, le gardien d’immeuble, un médiateur…
Voir règlement de copropriété section II – 7°/ – Jouissance